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A celui qui voulait me titiller
A celui qui voulait me titiller
fanatique des pouffiasses, servile de la vinasse
tu n'es crois moi qu'un roturier de la mélasse
Tu voulais briguer le titre de Duc de Klafouty
Avons nous jamais vu des rustres anoblis .
Tu t'obstines à imiter les clébards, à vouloir paraître,
prétentieux, tu devrais te contenter simplement d'être.
En érotisme grand fanfaron, tu mens, tu jacasses,
tes Venus callipyges? roulures, gueuses et pétasses .
Trop occupé à vouloir épater pauvre con, à frimer
tu finiras gesticulant sur la place du marché
exposant sur un carton d'emballage tes sonnets
bradant à la criée et au rabais tes insipides pamphlets .
Invendus tes écrits creux, vides de toute substance
finiront leurs pérégrinations sur les autoroutes de France
aux lieux dits Vespasiennes, cabinets d'aisance, Water-closets
Vous serez, dans l'oubliette de la postérité toi et tes navets .
Erreur funeste d'avoir voulu te mesurer au descendant
des «Barca», tu es mal tombé sot que tu es, manant,
minus, tête à claques, teigne, vermine, face de rat,
chat de gouttière, gibier de potence, scélérat
Je ne ferais de toi qu'une bouchée,
Pseudo poète de la dernière ondée
Si ton arrogance et ta stupidité restent certaines
Ta culture quant à elle demeure incertaine,
Un chat pervers et effronté
mérite sans délai d'être châtré .
Abid Hmida
Ce poème est protégé par copyright DPP N° 923-12488
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